The concept of the knowledge-based

The concept of the knowledge-based economy has attracted the attention
of policymakers in developing countries as well. The World Bank introduced a
‘Knowledge Assessment Methodology’ which compares a basic knowledge scorecard
across countries.
19)
The World Bank suggested four core requirements that a
country must meet in order to qualify as a knowledge economy. They are a sound
institutional and economic regime, adequate education and skills, information and
communication infrastructure, and an innovation system.
Although the terminology of the knowledge-based economy itself is relatively
new, knowledge has long been an important factor in economic growth. Among
the above four core requirements of knowledge-based economy proposed by the
World Bank, the first two elements such as institution and education have long been
mentioned as the most crucial factors for economic development. The other two
elements are relatively new as economists are now exploring ways to incorporate
knowledge and technology more directly in their theories and models. It seems that
the adoption of information and communication technology and innovation system,
relatively new but less crucial, attracted more attention than the first two critical
elements such as institution and education.
Therefore, even though the concept of knowledge-based economy engraved
the role of knowledge-related technology in driving productivity and economic
growth, it is misunderstood that the adoption of ICT is automatically conducive to
the knowledge-based economy. As the Paradox of Computer mentioned by Solow
whereby worker’s productivity decreases while computers are everywhere, the
productivity of computer is realized only when the people and organizations are
ready to use them properly.
Actually, knowledge has always been important throughout human history.
The production system has accelerated to move towards greater knowledgeintensiveness over the last two hundred years as the economy shifted from
agriculture to industry and further to the services-based economy. Along with
structural change, the factor-intensity moved from labor to capital, technology,
and human capital. In this context, we may say that the transformation into a
knowledge-based economy for Algeria is none other than industrial diversification as
the history of economic development shows.
In addition, this industrial diversification towards greater knowledgeintensiveness in production and management has been realized as the development
of private enterprises. Hayek(1945), a pioneer of knowledge economics, argued
emphatically that the use of knowledge in society is most efficient in market
economies. It means that private enterprises create and utilize knowledge most

النتائج (الفرنسية) 1:

le concept de l'économie fondée sur la connaissance a attiré l'attention des décideurs
dans les pays en développement. la Banque mondiale a présenté un
'méthodologie d'évaluation de la connaissance »qui compare un tableau de bord de base de connaissances
entre les pays.
19)
la Banque mondiale a suggéré quatre exigences fondamentales que
pays doit satisfaire pour être considéré comme une économie de la connaissance. ils sont un bruit
régime institutionnel et économique, l'éducation adéquate et les compétences, l'information et
infrastructure de communication, et un système d'innovation.
bien que la terminologie de l'économie fondée sur la connaissance elle-même est relativement
nouvelles connaissances a longtemps été un facteur important dans la croissance économique. entre
les quatre exigences fondamentales ci-dessus de l'économie fondée sur la connaissance proposés par la banque
mondiale,les deux premiers éléments tels que l'institution et de l'éducation ont été longtemps
mentionné comme les facteurs les plus cruciaux pour le développement économique. les deux autres
éléments sont relativement nouveaux comme les économistes sont en train d'étudier des façons d'intégrer
connaissances et de technologies plus directement dans leurs théories et modèles. il semble que
l'adoption de technologies de l'information et de la communication et de l'innovation,
relativement nouveau, mais moins crucial, a attiré plus d'attention que les deux premiers éléments critiques tels que
institution et de l'éducation.
Donc, même si le concept de l'économie fondée sur la connaissance gravé
le rôle des technologies liées à la connaissance de la productivité et la croissance économique
conduite, il est mal compris que l'adoption des TIC est propice automatiquement
l'économie fondée sur la connaissance.le paradoxe de l'ordinateur mentionné par Solow
lequel les baisses de productivité des travailleurs alors que les ordinateurs sont partout, la
productivité de l'ordinateur est réalisée uniquement lorsque les personnes et les organisations sont
prêt à les utiliser correctement.
fait, la connaissance a toujours été important tout au long de l'histoire humaine .
le système de production s'est accélérée à aller vers plus de knowledgeintensiveness au cours des deux cents dernières années, l'économie est passé de
agriculture à l'industrie et à la suite de l'économie basée sur les services. avec
changement structurel, le facteur d'intensité déplacé de travail vers le capital, la technologie,
et le capital humain. dans ce contexte, on peut dire que la transformation en un
économie fondée sur la connaissance pour Algérie n'est autre que la diversification industrielle comme
l'histoire de spectacles de développement économique.
en plus, cette diversification industrielle vers une plus grande knowledgeintensiveness dans la production et la gestion a été réalisé que le développement
des entreprises privées. hayek (1945), un pionnier de l'économie du savoir, a fait valoir
avec force que l'utilisation de la connaissance dans la société est la plus efficace dans le marché
économies. cela signifie que les entreprises privées créent et utilisent des connaissances les plus

النتائج (الفرنسية) 2:

Le concept de l'économie de la connaissance a attiré l'attention
des responsables des politiques dans les pays en développement. La Banque mondiale a présenté un
« Méthodologie d'évaluation des connaissances », qui se compare à une fiche d'évaluation des connaissances de base
partout au pays.
19)
la Banque mondiale a proposé quatre exigences de base qui un
pays doit satisfaire pour être considéré comme une économie de la connaissance. Ils sont un son
régime institutionnel et économique, une éducation adaptée et compétences, informations et
infrastructure de communication et un système d'innovation.
bien que la terminologie de l'économie fondée sur la connaissance elle-même est relativement
nouveau, connaissances a longtemps été un facteur important dans la croissance économique. Parmi
précède quatre principales exigences de l'économie axée sur les connaissances proposées par le
la Banque mondiale, les deux premiers éléments comme institution et l'éducation sont depuis longtemps
mentionné comme les facteurs cruciaux pour le développement économique. Les deux autres
éléments sont relativement nouveaux, comme les économistes cherchent maintenant comment intégrer
connaissances et des technologies plus directement dans leurs théories et modèles. Il semble que
l'adoption du système technologie et innovation, information et communication,
relativement nouveau, mais moins crucial, a attiré plus d'attention que les deux premières critiques
éléments comme institution et l'éducation.
Donc, même si le concept de l'économie du savoir est gravée
le rôle de la technologie en matière de connaissances dans la conduite de la productivité économique et
croissance, il est mal compris que l'adoption des TIC est automatiquement propice à
l'économie de la connaissance. Comme le paradoxe de l'ordinateur mentionné par Solow
par lequel la productivité du travail diminue alors que les ordinateurs sont partout, le
productivité d'ordinateur est réalisée que lorsque les personnes et organisations sont
prêts à les utiliser correctement.
en fait, les connaissances a toujours été important tout au long de l'histoire humaine.
Le système de production s'est accélérée pour aller vers une plus grande knowledgeintensiveness au cours des deux cents dernières années, comme l'économie passée de
l'agriculture, l'industrie et l'économie axée sur les services à la suite. Avec
changement structurel, le facteur-intensité passée du travail au capital, technologie,
et le capital humain. Dans ce contexte, nous pouvons dire que la transformation en un
économie du savoir pour l'Algérie n'est autre que la diversification industrielle comme
l'histoire du développement économique montre.
en outre, cette diversification industrielle vers une plus grande knowledgeintensiveness dans la production et la gestion a été réalisée que le développement
des entreprises privées. Hayek(1945), un pionnier de l'économie de connaissance, a soutenu
avec insistance que l'utilisation des connaissances dans la société est plus efficace dans le marché
économies. Cela signifie que les entreprises privées créer et utiliser les connaissances plus

النتائج (الفرنسية) 3:

Le concept de l'économie fondée sur la connaissance, a attiré l'attention
des décideurs dans les pays en développement. La Banque mondiale a introduit un
'connaissances Méthodologie d'évaluation" qui compare une connaissance de base scorecard
dans tout pays.
19)
La Banque mondiale a suggéré quatre exigences fondamentales qui un
pays doit satisfaire afin de se qualifier comme une économie de la connaissance. Ils sont une bonne
Institutionnels et régime économique adéquate, l'éducation et les compétences, de l'information et
infrastructure de communication, et un système d'innovation.
même si la terminologie de l'économie de la connaissance en elle-même est relativement
nouvelles connaissances, a longtemps été un facteur important de croissance économique. Parmi
ci-dessus quatre exigences fondamentales de l'économie fondée sur le savoir proposé par le
Banque mondiale,Les deux premiers éléments comme institution et de l'éducation ont été longtemps
mentionnés comme facteurs cruciaux pour le développement économique. Les deux autres
éléments sont relativement nouveaux comme les économistes étudient actuellement les possibilités d'incorporer
connaissances et de la technologie plus directement dans leurs théories et modèles. Il me semble que
l'adoption des technologies de l'information et de la communication et de l'innovation, système
Relativement nouveau mais moins cruciale, a attiré plus d'attention que les deux premières critiques
éléments comme institution et de l'éducation.
Donc, même si le concept de l'économie fondée sur le savoir gravé
le rôle des connaissances en matière de technologies liées à la conduite et la productivité économique
la croissance, il est mal compris que l'adoption des TIC est automatiquement propice à
l'économie fondée sur la connaissance.Comme le paradoxe d'ordinateur mentionnés par Solow
par laquelle productivité du travailleur diminue alors que les ordinateurs sont partout, la
la productivité de l'informatique est réalisée uniquement lorsque les personnes et les organisations sont
prêt à les utiliser correctement.
effectivement, la connaissance a toujours été important tout au long de l'histoire humaine.
Le système de production s'est accéléré pour aller vers une plus grande knowledgeintensiveness au cours des deux cents dernières années, l'économie a réorienté de
l'agriculture à l'industrie et de l'économie basée sur les services. Avec
changement structurel, le facteur-intensité déplacé de travail au capital, à la technologie,
et le capital humain. Dans ce contexte, on peut dire que la transformation en un
Économie de la connaissance de l'Algérie n'est autre que la diversification industrielle comme
l'histoire du développement économique montre.
En outre, cette diversification industrielle vers une plus grande knowledgeintensiveness à la production et à la gestion a été réalisé dans le développement
des entreprises privées. Hayek(1945), un pionnier de la connaissance l'économie, fait valoir
Avec insistance que l'utilisation de la connaissance dans la société est plus efficace au marché
économies. Cela signifie que les entreprises privées créer et exploiter des connaissances plus